Le surréalisme dans toute sa splendeur
Bonjour à vous, Chers lecteurs,
L’amateur d’art que je suis ne s’est pas fait en un jour. Enfant unique, j’ai passé beaucoup de temps avec mes crayons de couleurs à essayer de redessiner les paysages qui se présentaient à moi. Un jour pendant mon adolescence alors que je passais mes vacances chez mes grands-parents en Normandie, j'ai retrouvé des fonds de gouache en fouillant dans un vieux coffre à jouets du salon. J'ai alors décidé de réaliser un tableau avec les moyens mis à disposition, à la base plus pour combler l’ennuie que par pur désir artistique. J'y ai passé du temps, mais à ma grande surprise, le résultat était plutôt intéressant et surprenant. J’étais fier d’avoir réalisé, sans l’aide de personne, ma première œuvre.
La trahison des images
Même si j’ai eu la chance de découvrir de nombreuses références incontournables de la peinture dans les musées du monde entier, j’ai appris petit à petit la pratique de cet art de manière tout à fait autodidacte. Le weekend dernier, en feuilletant l’édition de Juin de « Connaissances Des Arts », je suis tombé sur la description d’une exposition dédié à l'artiste belge René Magritte au Centre Pompidou à Paris. Sans plus attendre, je suis parti à la rencontre des réalisations d’un des plus grands peintres surréalistes qui n’aient existé. Quelle joie de pouvoir admirer les œuvres qui reflètent la complexité et la brillance du génie Belge. J’étais transporté le temps de l’exposition dans un monde où les images qui nous sont exposées sont aussi surprenantes que poétique.
J’espère sincèrement vous avoir donné l’envie de faire un détour à votre routine pour admirer ces chefs d’œuvres. Suite à l’exposition, je pris le chemin de l’hôtel Le Walt afin d’y retranscrire mon expérience vécue au centre Pompidou. Arrivé dans le magnifique salon de l’hôtel Le Walt, mon écriture ne cessa d’être inspirée par les somptueuses reproductions de tableaux des plus grands maîtres. J’aime ce lieu paisible où amateurs d’art et voyageurs du monde entier se côtoient dans un cadre discret et reposant.
N’oubliez pas mes amis, Henri Matisse aimait dire : « Il faut que la peinture serve à autre chose qu'à la peinture. »
A très vite,