
Une exposition qui nous fait voyager
Bonjour à tous, chers lecteurs,
Comme j’aime à le dire : j’aime les Arts de Vivre. J’aime le style français, j’aime voyager, j’aime la peinture, la littérature, la sculpture… J’adore quand ceux-ci se mêlent et s’entremêlent afin de nous surprendre. Ils nous font voyager et rêver. Ils nous inspirent et nous emportent. Je chéris ces moments où à la découverte de Paris, je découvre au détour d’une rue, une nouvelle exposition me présentant un Art nouveau ou un Art que je connais déjà. Alors, je pars à la découverte de ces expositions trouvées au hasard, je me sens aventurier, conquérant à la recherche de ce trésor qu’est la culture.
L’Art mexicain prend rendez-vous à Paris
Il y a quelque temps, j’étais dans le métro quand j’apercevais au loin, une affiche annonçant l’exposition « Le Mexique des Renaissances » au Grand Palais. Je rentrais chez moi et commençais quelques recherches afin de m’informer sur l’exposition. Celle-ci aura lieu du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017, au Grand Palais. J’apprenais que Frida Kahlo, Rufino Tamayo et Diego Rivera seraient représentés à travers leurs œuvres.
Aujourd’hui, jour d’ouverture de l’exposition, je me rendais donc au Grand Palais, à la conquête de l’Art mexicain. Je rentrais dans l’édifice pour y découvrir maintes œuvres : Dessins, photographies, impressionnismes, cubismes… Tout était présent pour nous relater l’expansion artistique mexicaine du XXème siècle, après avoir aboli la monarchie espagnole ! Je retrouvais dans les œuvres l’envie de liberté et le besoin d’expression des artistes. La nécessité de changement et de modernité transparaissait à travers chacune des œuvres. Au fil de la visite, une sensation de patriotisme montait en moi plus j’avançais, plus je comprenais les artistes.
Je sortais de l’exposition et je ressentais le besoin d’en savoir plus sur ces artistes, sur le Mexique et son indépendance face à la monarchie Espagnole. Puis, je décidais de m’arrêter dans une librairie pour acheter un livre relatant l’histoire de cette période avant de prendre le chemin de l’hôtel Le Walt. Installé dans le patio intérieur j’avais l’esprit vagabond. J’étais impressionné par la révolution artistique que j’avais entraperçue ce jour-là, j’étais curieux d’en savoir plus. Je vous laisse mes amis, n’oubliez jamais ces paroles de Thomas Hobbes : « Le désir de connaître le pourquoi et le comment est appelé curiosité. »
A très vite !