Vermeer au musée du Louvre

Le sphinx de Delft

Bonjour à vous, chers lecteurs,

A la lecture de mes articles, vous avez certainement dû vous demander pourquoi je disserte principalement sur la ville de Paris. En effet, j’admire la richesse culturelle que les différents musées nous dévoilent tout au long de l’année par le biais d’expositions toutes aussi surprenantes les unes que les autres. L’année 2017 approche à grand pas et nous réserve un programme particulièrement riche. Une exposition m’a interpellé plus que les autres, il s’agit de l’exposition sur l’un des peintres néerlandais les plus réputés : Vermeer.

Ce nom ne vous évoque peut être rien, pourtant vous le voyez tous les jours, il s’agit de l’artiste qui à peint la célèbre image d’une laitière préparant son beurre. Vous réussissez surement à visualiser de quelle peinture je parle ?

Le musée du Louvre

A partir du 22 févier jusqu’au 22 mai 2017 le Louvre ainsi que le national Gallery of Ireland à Dublin et la national Gallery of Art à Washington organiseront une exposition unique en son genre puisqu’elle vise à mettre en lumière les relations entre les peintres de genre hollandais (c’est-à-dire qui dans leurs œuvres tendent à décrire la réalité) au cours de la période 1650-1675.

Cette exposition, longuement mûrie entre ces institutions, permettra aux visiteurs et aux spécialistes de l’Art, de mieux comprendre comment Johannes Vermeer et les peintres contemporains de scènes de la vie quotidienne s’admiraient, s’inspiraient mutuellement et rivalisaient les uns avec les autres.

J’y inviterai très certainement ma grand-mère maternelle qui en est l’une des ferventes admiratrices. C’est en grande partie grâce à elle, que cette passion pour l’Art et notamment la peinture à éclos en moi, mais cela est une autre histoire que j’aurais l’occasion de-vous conter prochainement. Ce sera une belle manière pour moi de lui exprimer ma reconnaissance pour ce qu’elle m’a enseigné.

Avant de vous souhaiter une agréable soirée, je citerais l’illustre Léonard de Vinci « Qui Blâme la peinture, Blâme la nature » !

A très vite !